Wilhelm Oranje : A life for the preservation of history

Né le 9 juillet 2006 à Malden, Wilhelm Oranje a grandi dans une famille modeste mais aimante. Son père, un artisan talentueux, et sa mère, une enseignante passionnée, ont toujours encouragé sa curiosité et sa soif de connaissances. Dès son plus jeune âge, Wilhelm s'est plongé dans les livres d'histoire, fasciné par les récits du passé et les mystères de l'humanité.

Lorsque la catastrophe a frappé Malden, Wilhelm se trouvait à l'université, poursuivant ses études en histoire avec enthousiasme. La pluie toxique qui s'est abattue sur la ville a changé sa vie à jamais. Dans le chaos qui a suivi, il a perdu ses parents, les seuls êtres qui comptaient pour lui. Leur disparition a laissé un vide béant dans le cœur de Wilhelm, et il a lutté pour trouver un sens à sa vie dans ce monde dévasté.

Après des jours d'errance et de désespoirdans les rues de Malden, Wilhelm a finalement trouvé refuge à La Colline, une base militaire reconvertie en forteresse contre les dangers extérieurs. Mais même là, entouré de murs de béton et de barbelés, il ne pouvait pas échapper à ses cauchemars ni à sa peur du monde extérieur. Chaque bruit dehors, chaque coup de tonnerre, réveillait en lui des souvenirs douloureux voir horrifique et des émotions inexprimées.

Quand le Gouvernement Américain cessa d'exister et que la colline devenue une espèce de petite nation survivaliste, il fut recruté au sein des archives de la colline, Wilhelm trouva là-bas un havre de paix. En tant qu'archiviste au Département de la Mémoire, il s'est consacré à la préservation de l'histoire de l'humanité. Parmi les étagères poussiéreuses et les piles de parchemin jaunis, il a retrouvé un sentiment de contrôle, une illusion de stabilité dans un monde en ruines.

Il ne prêta pas attention aux rumeurs sur les cobayes et il ne s'occupa pas des luttes de pouvoir qui émergeaient au sein de la base, il se contenta de servir, servir l'autorité qui contrôlait les lieux, partisans de personnes sauf de l'ordre. Pour finir, il y trouva une espèce de normalité avec ses quelques collègues, car le département ne comptait que très peu de membres, notamment à cause de certains documents qui devaient rester inaccessibles, mais en sécurité.

Dans les moments de solitude, Wilhelm se plongeait dans les documents anciens, cherchant des réponses à ses questions les plus profondes. Pourquoi la catastrophe avait-elle frappé ? Quel était le destin de l'humanité ? Mais plus il cherchait, plus il réalisait qu'il n'y avait pas de réponses simples, seulement des fragments dispersés d'une histoire incomplète.

Malgré tout, Wilhelm trouvait un certain réconfort dans sa mission de gardien du passé. À travers les mots et les images figées dans les archives, il pouvait encore communiquer avec les fantômes du passé, les voix silencieuses qui témoignaient de la grandeur et de la fragilité de l'humanité.