Oliver Blackwood - Staring at the shiny stars

01 Oliver est né dans une famille nombreuse. Étant le second de la fratrie, il a une grande soeur. Seulement, il est loin d’être le dernier enfant; un petit frère suivi de jumelles pour ainsi former cinq enfants dans la famille Blackwood. Et même on peut compter d’innombrables cousins et cousines puisque son père a un frère et deux soeurs et sa mère deux soeurs également. Les repas en famille n’ont jamais été paisibles! Bien que Oli s’est énormément éloigné de San Francisco dès qu’il a rejoint les rangs de l’armée. Malgré qu’il tente toujours d’honorer au moins une célébration par année lorsqu’il est au pays.

02 Il s’est toujours montré sportif durant son parcours scolaire, ce qui l’a grandement aidé à surmonter le parcours du combattant lors du processus d’embauche des forces armées américaines. Mais servir son pays a toujours été un but à atteindre. Il n’en démordit aucunement, malgré la dure réalité d’un camp militaire. Sa persévérance lui a permis d’atteindre le grade de Sergent de première classe. Il s’apprêtait à se hisser vers la prochaine promotion, cependant sa réalité -ainsi que celle de l’humanité- est toute autre.

03 Le militaire a une fascination pour les lézards. Il ne saurait l’expliquer, mais il les a toujours trouvé intéressants. Par son métier, il n’a jamais pu en posséder, mais il appréciait pouvoir les observer dans la nature lorsque cela était possible. Néanmoins, il préfère à présent éviter de croiser leur chemin, ignorant encore tous les effets que cette pluie a pu engendrer sur les êtres vivants.

04 Oliver a développé une tradition avec les membres de sa famille. Ça ne pouvait apaiser leur inquiétude envers le sergent, mais il y avait tout de même ce côté rassurant. Lorsque la nuit tombe et que les étoiles surplombent leur tête, ils observent les étoiles scintillantes. Repérer les mêmes constellations leur procurait ce faux sentiment d’être près l’un de l’autre malgré les milliers -voir parfois millions- de kilomètres les séparant.

05 Arès est probablement celui le connaissant le mieux. Son meilleur ami a toujours été là pour lui et s’est montré présent à chacun de ses retours de missions. Le médecin est aussi la personne dont Oliver sacrifierait tout. Il l’a toujours positionné avant tout. L’a toujours priorisé.
De ce fait même, il est celui que le militaire a été cherché dès que les signes avant-coureurs de la catastrophe pointaient le bout de leur nez.

06 Le sergent n’a jamais cessé de croire qu’il aurait mieux valu rejoindre le camp de la Colline. Sa place y était, il le sait au fond de lui. Cependant, Arès n’avait pas la même vision. À choisir entre les deux, Oli opta pour son meilleur ami -comme il l’avait toujours fait-. Par conséquent, il est au courant depuis les mois qui ont défilé, qu’il n’est simplement plus le bienvenu dans le camp régi par l’armée. S’il osait y mettre les pieds, son passif dans le corps armé ne vaudra plus rien -et son rang non plus d’ailleurs-. Et ce même s’il a conservé son uniforme et qu’il n’aura jamais honte de porter.

07 Depuis qu’il a rejoint le Refuge, le militaire s’y est très vite investi. Par son métier, il a été vite mis en charge des armes dont il prenait grand soin de s’assurer de la fiabilité de chacune et de les entretenir.
De fils en aiguille, tout en participant aux expéditions, le chef du camp a désigné Oliver responsable des expéditions au vu de son aisance et de sa connaissance sur le terrain hostile. Son passé dans les rangs armés semblait beaucoup plaire celui à la tête du Refuge. Ce qui arrangeait le militaire puisque l’action avait toujours animé ses journées.
C’est un rôle qui prend au sérieux et a tout à fait conscience des vies qu’il tient entre ses mains à chaque personne l’accompagnant hors du camp. Il y avait ses habitués. Notamment un dénommé Eliott dont Oliver prit en charge peu de temps après son arrivée au Refuge. Le jeune homme pile électrique s’était pris d’admiration pour lui.

08 Oliver n’a aucune idée si sa famille a été décimée avec la catastrophe qui s’est abattue sur l’humanité. Il ose croire que non. Seulement, il est rendu ardu de se rendre à l’autre bout du pays.