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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
dollars● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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Responsabilité : Aucune
Localisation : La tanière
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
messages● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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dollars● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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messages● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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Crédits : Lqrken
Pronom IRL : Elle
Trigger Warnings : On peut en discuter
Faceclaim : KJ Apa
Pronom INRP : Il
Messages : 42
Age : 26
Statut civil : Célibataire
Responsabilité : Aucune
Localisation : La tanière
Occupations : Explorateur et tatoueur à ses heures perdues
Gif :
Notes : RP en cours [3/3]
● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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