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I'm rip this shit, till my bones collapse

Jaden S. McCoy
Staff — Rainfall — la Tanière
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Jaden S. McCoy
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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Jaden avait l'impression de renaître, comme s'il retrouvait un fragment d'humanité dans ce campement de fortune. L'accès à des douches, à des soins médicaux et à l'électricité créait une illusion de normalité. Ici, tout le monde était sur le même pied d'égalité. Il n’y avait plus ni riche, ni pauvre, juste des survivants. Bien sûr, il y avait toujours des emmerdeurs, mais après tout, dans ce monde en ruines, qui ne serait pas devenu un minimum désabusé ? Même si l’apocalypse avait nivelé certaines différences, la frustration, la colère et la peur restaient les véritables dominantes. Dans cet environnement étrange et morcelé, Jaden attendait avec une impatience teintée de méfiance sa prochaine mission d'exploration. Pas tant pour le frisson de l'inconnu que pour découvrir qui serait son prochain binôme. Il se demandait, non sans un soupçon d'ironie, si cette personne serait plus difficile à supporter que le monde chaotique qui les entourait.

Il n’était pas aisé de cohabiter avec Jaden. Son caractère taciturne et ses silences lourds en disaient long sur un passé qu’il taisait. Peu d’élus connaissaient ses cicatrices, celles qui marquaient son corps comme celles, plus profondes, gravées dans son esprit. Il était le genre de gars à faire des blagues parfois un peu lourdes, maladroit avec les mots, un vocabulaire qui laissait à désirer, mais avec une capacité extraordinaire à aligner les insultes à la moindre contrariété. Là-dessus, il était un vrai champion. Pourtant, derrière cette façade se cachait une âme usée, à bout de souffle, cherchant peut-être une rédemption ou, au minimum, un peu de paix.

Ce matin-là, il avait commencé par ranger l’intérieur de son fourgon, ce qui, dans cette vie, ressemblait à un luxe inattendu. Faire sa lessive, laver son linge... Il s’était habitué à la crasse omniprésente, mais désormais, il vivait en communauté. Se faire des amis n’était pas une priorité pour lui, mais il comprenait que l’apparence et l’odeur avaient leur importance. Sa peau, autrefois rêche et sale, était à présent plus douce. Ses cheveux ne lui irritaient plus autant le cuir chevelu, et parfois, il surprenait ses propres narines en sentant l’odeur délicate de son t-shirt. Une sorte de parfum de lavande ou une herbe quelconque ? Il n’en savait rien, mais c’était une amélioration. Pour une fois, il ne ressemblait plus à une bête sauvage.

Puis, direction la salle d’entraînement. L’endroit était modeste, mais c’était son petit coin de paradis. Là, il y avait tout ce dont il avait besoin pour défouler ses frustrations : un sac de frappe, des haltères, des cordes à sauter. Chaque impact contre le sac le ramenait à ses anciens combats. Les ombres du passé revenaient, lourdes, oppressantes. Chaque coup de poing lui rappelait ceux qu’il avait donnés et reçus. Mais rapidement, un autre souvenir plus sombre s’imposa à lui : son père. Ses mains tremblaient légèrement, non de fatigue, mais de colère sourde. L'image de son père frappant, toujours frappant, et ce soir funeste où il avait dû... l'arrêter. Il secoua la tête, comme pour chasser ce démon intérieur.

Alors qu'il s’acharnait sur le sac de frappe, perdu dans ses pensées, un raclement de gorge le fit sortir brutalement de son isolement. Il souffla lourdement, reculant d’un pas, les bras ballants de fatigue. Ses poings serrés se relâchèrent lentement. Il tourna la tête vers l'intrus, les yeux plissés, une étincelle d’agacement dans le regard. Qui osait le déranger en plein exercice ?


— I'll keep on
Oh these hands are tired
Oh this heart is tired
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ft. @jaden s. mccoy & sam owens

Sam n'avait jamais été une grande adepte des salles de sport. Avec la pratique du judo et du hockey sur glace, elle avait assez d'activité sportive pour ne pas en plus aller s'inscrire dans une salle surpeuplée avec l'air chargé de sueur et de testostérone. Le contact du tatami sous ses pieds et de la glace sous ses lames lui manquaient mais les compétitions et entraînements étaient tombés très bas dans la liste des priorités du monde, comme la plupart des loisirs non essentiels à la survie. Elle aurait toujours pu essayer d'attraper un infecté par le col pour marquer un ippon, mais il y avait des techniques plus sécurisées et plus homologuées.
Alors, Sam courrait. Elle se débrouillait bien, meilleure en endurance qu'en vitesse pure et dure, ce qui tombait bien puisque le but était de courir jusqu'à s'épuiser. Elle n'aimait pas trop ça avant les pluies, principalement car l'aspect logistique était insupportable : il faut éviter ce quartier, ne pas traverser tel ou tel parc, ne pas sortir tôt le matin ou tard le soir, ne jamais sortir sans avoir activé sa géolocalisation... se faire siffler, insulter, suivre, c'était la norme. La catastrophe avait étonnamment réduit ce phénomène, au moins au sein de certains camps.

A la Tanière, c'était plutôt sécurisé. De ce qu'elle savait des survivants, le camp avait une réputation assez rude, mais hormis quelques interpellations alcoolisées à la Taverne
(boys will be boys, ils disent)
Sam ne se sentait pas en danger. Elle avait pris l'habitude de courir autour du champ dans l'enceinte du camp mais l'objectif était différent aujourd'hui. Elle voulait essayer la salle de sport de la Tanière, le matin alors que tout le monde vaque à ses occupations, pour être tranquille. Alors la rousse était allée courir vingt minutes avant d'y aller, en partie pour s'échauffer, et aussi pour se donner du courage.

Stratégiquement, Sam avait laissé un sac de sport avec un tee-shirt de rechange et une barre de céréales dans l'espace vestiaire pour ne pas avoir besoin de repasser par sa chambre. Sûrement des casiers d'anciens employés, il restait même quelques vieilles étiquettes jaunies par le temps qui affichaient des prénoms pas complètement effacés. Pas de cadenas, évidemment, mais qui allait lui piquer un vieux maillot ?
La rousse attrapa ses affaires et prit la direction du plateau. Ce n'était pas un Planet Fitness, mais ça pouvait sûrement faire l'affaire. Elle avait finalement besoin de quelques haltères et d'un banc pour s'occuper, pas beaucoup plus.

C'est le son qui la fit réagir en premier. Des coups réguliers comme une horloge qui brisaient le silence ambiant. Sam n'était pas seule, elle leva les yeux et se figea une seconde.
Ah.
Quelqu'un était en train de s'entraîner (malmener) un sac de frappe, qui se trouvaient évidemment juste à côté des haltères. Elle hésita à faire demi-tour, elle aurait préféré pouvoir découvrir la salle seule, sans avoir la crainte de passer pour une andouille qui touche une haltère pour la première fois. Peur d'être jugée, moquée, d'être perçue comme faible ou bête - des insécurités qu'elle savait injustes mais qu'elle avait encore du mal à dompter. Sam souffla un coup pour se donner du courage et avança d'un air déterminé vers le coin occupé. Bien sûr des haltères n'étaient pas correctement rangées sur leur support, et se trouvaient derrière les sacs de frappe. Bien sûr.

Sam arrivait dans le dos du survivant et ne put s'empêcher de remarquer qu'il était bien plus imposant qu'il en avait l'air à distance. Les poings frappaient le sac avec une force impressionnante et ce qui semblait être une technique maîtrisée. Arrivée pas loin de l'homme, elle se racla la gorge pour attirer son attention et prit une gorgée d'eau de sa bouteille avant de se lancer. Une petite pensée traversa son esprit (la vache, il est bien foutu ce mec).
Et elle avala de travers.
Prise d'une quinte de toux alors que l'eau passait par les voies respiratoires, Sam essaya de parler en même temps mais ne put même pas prononcer une syllabe. Les yeux humides des larmes qui montaient toutes seules, elle leva la main vers son (futur) interlocuteur pour lui signaler que c'était en train de passer. Elle voyait flou mais devinait qu'il s'était tourné vers elle, alors que cette foutue toux peinait à se calmer. Les secondes paraissaient interminables mais elle finit par reprendre son souffle, pliée en deux, les mains sur les genoux.

"Putain...." commença t-elle d'une voix un peu rauque. Belle entrée en la matière. Elle se redressa et croisa le regard du brun, ses yeux bleus encore brillants de sa mésaventure. En plus de s'étrangler toute seule, elle le faisait devant un des derniers arrivants du camp, bien sûr.
"Woah désolée je... j'ai avalé de travers", expliqua t-elle comme si la situation n'était pas évidente. "Je voulais juste aller attraper les haltères là-bas sans te déranger, c'est réussi" Sam ramait dans ses justifications et pointa du doigt les équipements mentionnés. Elle profita de la pause forcée pour se glisser derrière le sac, attraper les poids et les ramener vers son sac, s'efforçant de reprendre une contenance. "Je ne pensais pas croiser du monde ici ce matin" commenta t-elle distraitement.

Elle qui n'aimait pas se faire remarquer, c'était un franc succès.



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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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Jaden arrêta brusquement le sac de frappe qu'il tenait fermement entre ses mains, ses muscles tendus par l’effort. Essoufflé, il se tourna vers la jeune femme, soudainement en difficulté. Elle semblait s’étouffer, toussant à plusieurs reprises. Pendant un instant, il hésita. Ce n'était pas dans ses habitudes d’intervenir pour aider le premier venu. Il était du genre à rester dans son coin, évitant tout contact inutile avec les autres. Mais il ne pouvait pas non plus ignorer la situation — malgré tout, il restait humain. Un soupir léger franchit ses lèvres tandis qu'il s’avançait d’un pas, levant une main pour lui tapoter le dos avec un geste maladroit. Pourtant, avant même qu’il n’ait vraiment agi, elle leva la main pour lui signifier que ça allait.

Elle reprenait lentement son souffle, et lui, haussant les épaules avec une nonchalance assumée, attendit en silence. Il ne savait pas trop si elle allait encore lui parler ou simplement repartir, mais il devait admettre qu’elle avait interrompu sa précieuse séance d'entraînement. Pas que ça l’énerve vraiment, mais le sport était son exutoire. C'était son rituel du matin, sa façon de se purger de toutes les pensées envahissantes, de la crasse mentale accumulée, surtout après deux ans de chaos. À défaut de pouvoir se défoncer à longueur de journée avec du cannabis, il frappait. Le sac de frappe était devenu son second refuge, un moyen de tenir la tête hors de l'eau.

“Ça serait une mort conne,” lâcha-t-il brusquement sans vraiment réfléchir. Sa voix résonna dans le gymnase presque désert. Il jeta un coup d'œil à la bouteille d'eau qu'elle avait dans la main, haussant un sourcil amusé. “Survivre à tout ce bordel pendant deux ans et finir par s'étouffer en buvant de l'eau... Franchement, y'a plus ironique comme fin, non ?” Il esquissa un demi-sourire, bien que l'humour noir de la situation semblait davantage l'amuser lui que la jeune femme.

Il l'observa quelques secondes, avant de lui faire signe d'aller chercher les haltères qu'elle visait. “Ok, vas-y, fais ton truc,” dit-il en lui ouvrant un passage vers le rack d’haltères. “Plus vite tu prends ce que tu veux, plus vite je peux me remettre à mon sac.” Sa voix était teintée d’une pointe d'impatience, mais il essayait de garder un minimum de courtoisie. Après tout, c’était un espace commun. Mais à vrai dire, il était bien plus habitué à s'entraîner seul à cette heure-ci. “C’est pour ça que je viens tôt, pour éviter d’être emmerdé…”

Le sous-entendu était clair, presque acerbe. Il n’était pas là pour socialiser, et il ne s'en cachait pas. Se faire des amis ou même simplement échanger des mots avec des inconnus n'était pas dans ses priorités. En fait, il s’en foutait royalement. Il n'avait pas le temps ni l'énergie pour s'attacher à qui que ce soit dans ce monde en décomposition.

“Je peux reprendre mon exercice ou tu veux que je te montre comment utiliser des haltères ?” lança-t-il finalement en arquant un sourcil, son ton plus tranchant qu’il ne l’avait prévu. Déjà, il se repositionnait face au sac de frappe, le corps tendu, prêt à cogner à nouveau.


Avec plaisir Please , j'aime beaucoup ta plume Coeur (déso, Jaden est assez tranchant comme personnage Huhu)


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Sam Owens
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Sam reprenait difficilement son souffle alors que l'inconnu commentait l'absurdité de la situation. Le commentaire lui tira un sourire un peu fébrile. "J'avoue, je me voyais partir de façon plus héroïque", acquiesça t-elle, pas prête à voir marqué sur sa tombe ci-gît Sam, s'est noyée dans 5cl d'eau. Forcément, des accidents bêtes étaient voués à se produire, mais quand même. Mais c'était une simple fausse route, rien de dramatique, rien qui allait l'achever aussi facilement. Elle sourit plus sincèrement lorsqu'il lui ouvrit le passage, le sac de frappe se balançait paisiblement au bout de la corde, son mouvement de balancier ralenti par la pause imposée. Elle hésita entre les différentes haltères et jeta son dévolu sur la paire de 7,5 kilos. La salle improvisée ne débordait pas de matériels et les poids supérieurs - 15kg - lui semblaient un peu ambitieux. Elle ne partait pas de zéro en terme de pratique sportive mais la différence de mouvements entre une prise de judo et du développé militaire était drastique.

Si la deuxième réflexion la prit un peu de court - ok, le gars était pressé de reprendre son entraînement, pourquoi pas -, la suivante la fit visiblement tiquer. Être emmerdé, carrément ? Charmant. Elle grimaça brièvement, décontenancée par la réaction du brun. Vivre dans un camp allait lui sembler difficile s'il ne supportait pas l'existence d'autres survivants dans son espace.  "Ooook... c'est bon, j'ai pris ce que je voulais." elle répondit en posant les poids à côté du banc à proximité. Elle attendit d'avoir le dos tourné pour lever les yeux au ciel, agacée mais pas assez pour lancer ouvertement les hostilités.

Enfin, il lui fit une nouvelle fois comprendre que l'échange avait assez duré avec sa dernière question qui puait la condescendance. Sam répondit précipitamment, "non, c'est bon, je vais me débrouiller", maintenant mal à l'aise de l'interaction. Elle avait l'habitude d'être écartée des discussions et mise de côté par les survivants les plus aguerris qui la voyaient automatiquement comme un boulet sans défense, mais le brun n'avait pas l'air beaucoup plus vieux qu'elle, elle ne s'attendait pas à un tel accueil. Assise sur le banc, elle essayait de se remémorer les vidéos de sportives qu'elle voyait passer sur son feed, dans une autre vie. Toutes ces séances 8 semaines de programme avec des haltères pour avoir un boule qui chamboule qui pullulaient sur les réseaux. Sam regrettait presque de ne s'y être jamais intéressée, d'avoir toujours privilégié les entraînements fonctionnels.

La rousse avait sa fierté et celle-ci avait déjà été malmenée par l'épisode de la bouteille d'eau, elle n'allait pas en plus supplier l'homme de l'aider. Elle allait faire appel à ses anciens souvenirs et se débrouiller ainsi. L'inclinaison du banc bien réglée, parallèle au sol, Sam se laissa basculer en arrière avec les haltères dans les mains, pour initier une série de développé couché. Le mouvement était tremblant, les bras pas vraiment alignés,
qu'est ce que c'est lourd en fait quinze kilos ?!
et surtout, plus difficile que ce qu'elle imaginait. Soit c'était sa technique qui lui compliquait la tâche, soit elle avait vraiment surestimé ses capacités. Après quelques répétitions, elle posa les haltères au sol, prit quelques secondes pour s'attacher les cheveux. Elle croisa le regard du brun, sans arriver à déchiffrer ses intentions. "je débute, c'est pour ça que je galère", se justifia t-elle, un peu sur la défensive.



Jaden S. McCoy
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Jaden S. McCoy
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Jaden haussa les épaules, résigné. Tant pis, si elle voulait se débrouiller seule, c’était son problème. Après tout, chacun gérait ses propres galères. Cela lui permettait de retourner à son sac de frappe, un plaisir qu’il s’accordait pour évacuer ses tensions. Il enchaînerait ensuite avec quelques exercices de renforcement musculaire, puis un peu de cardio pour terminer. Une routine bien rodée.

Le brun tourna lentement autour de son sac de frappe, en enfonçant ses poings et ses jambes dans le cuir avec une force maîtrisée. À chaque impact, il ressentait ce frisson familier, cette montée d’adrénaline qu'il n'avait connue que sur le ring, lors de ses combats clandestins. Ah, c’était le bon temps, pensa-t-il avec une pointe de nostalgie. L'intensité des coups, les visages dans l'ombre, l'odeur de la sueur et du sang… Des souvenirs qui, étrangement, lui manquaient.

Il arrêta un instant son entraînement, son regard accroché à la silhouette rousse qui, non loin, s’acharnait sur ses haltères. Elle avait l’air de galérer. Il soupira intérieurement. Son positionnement était tout sauf optimal. Elle avait l’air de vouloir bien faire, mais il pouvait déjà prédire une tendinite ou une mauvaise chute si elle continuait ainsi. Elle se débrouillait comme elle pouvait, mais ça lui rappelait ses débuts, quand il ne savait pas mieux et qu'il aurait bien aimé qu'on lui donne un coup de main à l'époque. Peut-être qu'il ne devrait pas la laisser se casser un muscle pour autant.

Quand elle se mit à se justifier maladroitement, un rire s'échappa de sa gorge avant qu’il puisse le retenir. Il posa les mains sur ses hanches, amusé, puis se dirigea vers les poids en secouant la tête. Sans rien dire, il prit des haltères plus légères et s’approcha d’elle pour les lui tendre.

« Sois pas sur la défensive comme ça, Red. J’ai rien dit… bon, peut-être que je l’ai pensé très fort, d’accord. » Un sourire narquois se dessina sur ses lèvres. Jaden n’était pas du genre à être tendre, et il le savait bien. Son côté froid et bourru en agaçait plus d’un, mais en la voyant galérer ainsi, ça le touchait d’une manière qu'il n'aurait pas voulu admettre. Cela lui rappelait qu’il n’avait pas toujours été aussi sûr de lui.

« Écoute, tu devrais déjà t’échauffer un peu les bras, les poignets. T’es jeune, ça serait con de te blesser pour rien. » Il avait beau avoir presque le même âge qu’elle, il se sentait bien plus vieux, usé par une vie qui l’avait forgé à coups de poing, au propre comme au figuré.

Il se gratta l’arrière de la tête avant de continuer : « Commence avec des poids plus légers et augmente petit à petit. Et si tu veux rester simple, fais des pompes. Le poids de corps, c’est tout aussi efficace. À moins que t’aies dans l’idée de devenir bodybuildeuse ? » Sa question était teintée d’humour, un clin d’œil qui masquait à peine son sérieux. Il était convaincu qu'il valait mieux être athlétique et souple plutôt que de chercher à se gonfler inutilement. De nos jours, mieux valait la fonctionnalité à l’apparence, surtout quand tout pouvait basculer d’un jour à l’autre.

« Sinon, descends au sol. Pas besoin du banc, au moins si t’as plus de force, tes coudes seront soutenus par le sol et pas suspendus dans le vide. » Son ton était devenu plus pragmatique, une touche de bienveillance perçant dans ses conseils. « Si jamais t’as besoin d’exercices spécifiques pour un muscle, demande-moi. Par contre, j’espère que t’as une bonne mémoire, parce que je déteste me répéter. Enfin… c’est surtout que j’ai la flemme. »

Il haussa les épaules à nouveau, comme pour souligner sa nonchalance, et alla chercher sa corde à sauter. Il reprit son propre entraînement, enchaînant les sauts avec une agilité qu’il ne montrait qu’en de rares occasions. Tout en continuant sa séance, il gardait un œil sur elle, à la fois distant et protecteur. Il la laissait faire à sa manière, mais s'assurait qu'elle ne fasse pas de bêtises. Parce qu’au fond, même s’il n’aurait jamais l’avoué, il était là, juste en cas de besoin.


C'est un sauvageon, mais, il a un bon fond, faut juste bien creuser Huhu


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Sam comprit très rapidement qu'elle allait revoir ses ambitions à la baisse sous réserve de se prendre une haltère sur le coin du nez. Et en même temps, la perspective de galérer et se donner un nouvel objectif était très motivante. Elle avait toujours aimé les challenges et la difficulté ne lui faisait pas peur. Souvent, elle commençait une activité, progressait très vite, commençait à s'ennuyer jusqu'à se confronter à un premier mur. Dépasser celui-ci, c'était ce qui lui donnait envie de continuer, de repousser son corps ou son esprit dans ses retranchements, et franchir des limites qu'elle imaginait impossible quelques mois plus tôt. ça ne se faisait pas sans mal, car elle avait toujours eu la fâcheuse tendance de se mettre la pression pour réussir, mais elle savait que ça finissait par passer.

Echouer dans le confort de sa chambre ou en solitaire, c'était quelque chose, mais échouer devant du public était déjà plus frustrant. Sam n'allait pas s'excuser d'essayer, bien au contraire - au moins, elle essayait. Le brun décela l'attitude défensive dans ses mots et Sam s'empêcha de protester d'un "je suis pas sur la défensive !" qui aurait seulement prouvé qu'elle l'était un peu.
Red. C'est vrai qu'elle ne s'était pas présentée, elle comprenait l'improvisation. Elle n'était pas très douée en surnoms, de toute façon.

Mais Sam lui adressa un sourire timide en attrapant les haltères qu'il lui tendait. "Je me suis peut-être emballée, mais je faisais du judo avant, je pensais pas partir de zéro", du bout du pied, elle fit rouler le premier jeu d'haltères un poil plus loin, se promettant de prendre sa revanche un jour sur celles-ci. Pourtant, elle savait bien que le judo était un jeu entre la force de l'adversaire et la puissance des mouvements, mais quand même. Elle avait porté des packs de lait dans des coffee shop à une époque ! "C'est vrai, tu as raison papy", elle répondit sur le ton de la taquinerie à sa réflexion sur son âge - s'il savait distribuer, il savait encaisser aussi non ? Pour autant, elle entama quelques mouvements d'échauffement, car elle savait que c'était une bonne habitude à avoir. "Ok, des pompes. Je fais ça après, alors." puis, en balayant d'un revers de main sa question, "ils ont pas encore créé de catégorie pour mon profil de bodybuilder, c'est mort." Catégorie crevette, ça n'existait pas encore.
A une époque, Sam n'avait pas à rougir de son corps : entre le judo et le hockey, elle avait bien assez d'activités sportives pour prendre du volume, même si elle avait toujours été de nature fine, les muscles étaient quand même définis. Au quotidien et sur les photos, elle se sentait plus à l'aise, plus confiante. Ce n'était plus le cas aujourd'hui : le changement de nutrition et d'activités avait fait fondre muscle et gras, la laissant mal à l'aise dans un corps d'adolescente.

Sam écoutait les conseils avec beaucoup d'attention. Même si elle avait baissé la garde et sortit quelques plaisanteries, elle restait concentrée sur son objectif premier : apprivoiser la salle de sport. "ça marche, c'est.. c'est sympa. Merci", sincère cette fois, car il aurait aussi pu la laisser galérer dans son coin et ne rien dire. Elle se remit en position, et déjà la différence de poids entre les haltères était immense. Son mouvement était plus fluide, moins bancal, et elle avait l'impression de réellement sentir l'effort dans les pectoraux plutôt que dans tout le haut de son corps. Premier progrès. Pousser, respirer, contrôler la descente, c'était un rythme à adopter. Après deux séries, elle s'accorda une petite pause hydratation, avant de se mettre au sol. Des pompes, c'était la suite, et ça Sam en avait déjà fait - son poids du corps était un clair avantage sur ce mouvement, il n'y avait pas trois tonnes à soulever. Et elle connaissait aussi l'alternative : passer sur les genoux lorsque ça devenait trop difficile, ça permettait d'en faire quelques uns de plus. Pendant les temps de pause, Sam voyait que le brun était toujours en plein entraînement, et finalement ça avait quelque chose de rassurant. Il n'avait a priori pas de mauvaises intentions et n'avait pas l'air d'être un gros lourd qui prenait un sourire pour du flirt.

Elle attendit qu'il prenne une pause, assise en tailleur sur le banc, et lui fit un signe de main pour attirer son attention. Elle réalisait qu'elle ne connaissait toujours pas son prénom - et elle n'allait pas faire un "hé toi !!", elle était plus polie que ça quand même. "Qu'est-ce que tu me conseillerais pour renforcer les épaules ? Je m'entraîne avec une arbalète et souvent à la fin j'ai les épaules super crispées et fatiguées. J'aimerais bien m'améliorer sur ça. A l'intérieur du camp, c'est pas grave d'avoir des courbatures, mais bon... on sait jamais" expliqua t-elle, en se disant que si elle partageait clairement ses objectifs, ça pouvait aider papy à la guider. Elle n'avait pas prévu de devoir utiliser de nouveau son arbalète dans des situations à risque, mais elle préférait être prête.
Si elle savait bien une chose, c'est que les situations pouvaient déraper très rapidement. "Et moi, c'est Sam au fait. Même si Red ça me va aussi", c'était sa couleur préférée en plus, ça tombait bien.

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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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La rouquine avait de la répartie, et Jaden ne pouvait s'empêcher d'apprécier ça. Il y avait quelque chose de vivifiant chez elle, une sorte de flamme qui refusait de s'éteindre, un caractère bien trempé qui ne se laissait pas marcher sur les pieds. C'était le genre de force qu'il respectait, surtout dans un endroit comme ce camp où les faibles étaient vite broyés. Mais il savait aussi que la fierté pouvait parfois se retourner contre soi, surtout face à certains hommes qui ne respectaient aucune règle, même pas celle, sacrée à ses yeux, de ne jamais lever la main sur une femme, peu importe la situation. Il y avait toujours d'autres moyens, pensait-il : bloquer un geste, partir. Il préférait la fuite, toujours. Pourtant, dans un accès de rage, il n'était plus tout à fait certain de pouvoir garder son calme, et ça, ça le perturbait plus qu'il ne voulait l’admettre.

"Papy un, ok, c'est noté," lança-t-il d'une voix qui se voulait menaçante, mais qui trahissait, en réalité, une pointe d’amusement. Son sourire en coin laissait entrevoir que la tension entre eux était plus taquine que réelle. "Catégorie allumette," ajouta-t-il, moqueur, en désignant sa silhouette frêle et ses cheveux roux flamboyants. Il ne la connaissait pas, mais Jaden était du genre à tester les limites des gens, voir jusqu'où il pouvait aller avant de les énerver. Si elle se vexait, tant pis, il saurait reculer sans se prendre la tête. Les gens trop sérieux, ça ne l'intéressait pas.

"Pas d'problème," conclut-il en retournant à ses exercices. Pourtant, à chaque série de pompes ou de corde à sauter, son regard dérivait vers elle, comme attiré malgré lui. Il vérifiait si elle bougeait bien, si ses mouvements étaient fluides, s’il n’avait pas une remarque à faire sur sa posture. Il savait que de simples ajustements pouvaient faire une énorme différence. Une bonne position rendait l'effort moins intense, plus efficace. Pour l'instant, il n’avait rien à redire. Mais il la gardait à l’œil, par automatisme.

Après une série intense, il s'arrêta pour boire une gorgée d'eau et s'essuyer le front avec une serviette, tout en jetant un coup d'œil vers la rouquine. Elle semblait avoir elle besoin de lui pour quelque chose. Il devina rapidement qu'elle cherchait des conseils. Après tout, tout le monde finissait par chercher de l’aide, un jour ou l’autre.

Il jeta nonchalamment sa serviette sur un banc et s’approcha. "Des exercices pour les épaules ?" répéta-t-il, réfléchissant un instant. Il n'était pas un expert des muscles utilisés pour manier une arbalète, mais il avait quelques idées. Peut-être que ce qu'il allait lui montrer serait utile, peut-être pas. "Sam, ok... mais j’vais rester sur Red," dit-il en souriant, avant de se présenter. "Moi, c’est Jaden. Ou papy, si t’insistes." Il lui adressa un clin d’œil amusé avant de saisir deux petites haltères.

"Bon, alors, tu peux commencer par ça," dit-il en levant les haltères au-dessus de sa tête. "Ça travaille les biceps et les épaules." Il commença à monter et descendre les poids avec aisance, puis insista sur la descente, expliquant qu’il fallait la contrôler, et se montrer dynamique à la poussée. "Sinon, y’a ça." Il se pencha légèrement en avant, le dos bien droit, et écarta les bras comme un papillon, démontrant un autre exercice. "Ça, ça bosse le haut du dos, les trapèzes et encore les épaules." Il reposa les haltères, visiblement légers pour lui, et continua.

"Y’a aussi des variantes de pompes pour les épaules," dit-il en adoptant une position plus complexe. Il se plia en avant, jambes tendues, formant une sorte de pont avec son corps, et commença à fléchir les bras. Cette fois, l’effort était bien plus intense, et son visage prit une teinte rougeâtre sous l’afflux de sang. "Voilà, je pense que tu peux déjà commencer avec ça," ajouta-t-il en haussant les épaules, essayant de cacher l’effort qu’il venait de fournir.

Il fit quelques pas en direction de la barre de traction, mais son esprit restait en arrière, avec elle. Il l’avait aidée, oui, mais une étrange sensation le poussait à rester vigilant, à être disponible, comme si quelque chose en elle éveillait une curiosité qu’il n’avait pas ressenti depuis longtemps. Sans trop savoir pourquoi, il se tenait prêt, au cas où elle aurait à nouveau besoin de lui.


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Si la discussion semblait mal partie, le temps avait fait son oeuvre pour détendre l'atmosphère. Ca tenait souvent à peu de choses et parfois s'éloigner quelques minutes permettait de désamorcer une situation tendue. Ca n'était pas toujours dans les habitudes de Sam, mais elle se canalisait depuis son arrivée à la Tanière, un brin tête brûlée mais pas inconsciente non plus. Il y avait toujours des choses qui la faisaient partir au quart de tour mais elle ne se formalisait pas des grognons. Chacun gérait différemment, certains attaquaient pour se défendre, d'autres se défendaient avant même d'être attaqués, mais tant qu'on ne lui sortait pas du il faut sourire ma petite dame, tout allait bien. Surtout, la rousse commençait à croire qu'elle s'en sortait assez bien pour cerner les gens : un timide un peu maladroit pouvait donner l'impression d'être un con arrogant, alors elle s'efforçait de ne pas juger trop vite. Ecouter son instinct lui réussissait plutôt bien.
Il avait encaissé comme un chef le papy, qui était définitivement injuste. Sam était nulle pour deviner les âges, encore plus depuis les premières pluies où tout le monde semblait avoir accumulé quelques années de plus. Plus personne ne portait ses papiers d'identité de toute façon, ils avaient perdu leur valeur en même temps que l'argent.
(On aura l'air malin quand tout reviendra à la normale et qu'on aura perdu nos passeports et nos permis)

"Et les allumettes, elles brûlent quand on les cherche, c'est tout moi", admit Sam, qui était obligée de reconnaître que son physique n'impressionnait personne. C'était difficile de se contenter de ce qu'on avait : elle admirait les femmes grandes et musclées qui concouraient quatre catégories au dessus d'elle au judo, mais elle était certaine que d'autres lui enviaient son petit gabarit agile. Au moins, les réseaux sociaux n'existaient plus pour leur vendre des idéaux inatteignables et une insatisfaction constante.

Sam divaguait, car même si une petite partie d'elle imaginait qu'un entraînement assidu à la salle de sport pouvait la réconcilier avec elle-même, ce n'était effectivement pas l'objectif premier.

Elle l'observa s'approcher et prendre le temps de réfléchir à la question. De nouveau, elle pensa de nouveau il est quand même mignon le con, sans s'étrangler avec son eau cette fois. Jaden. Non, c'était plus sympa que papy, et l'utilisation de diminutifs ne lui venait pas aussi naturellement qu'à son interlocuteur visiblement. Elle détaillait chaque mouvement, assidue, désireuse d'être une bonne élève. En théorie, elle voyait bien ce qu'il fallait faire, c'était la pratique qui risquait de manquer.
Lors du dernier mouvement, Sam ne put s'empêcher de lâcher un "mais noon" à voix haute. "Alors ça, j'essayerai dans quelques mois, là je crois que je me brise la nuque direct" s'exclama t-elle, se disant quand même qu'elle allait certainement essayer le mouvement seule dans sa chambre, juste pour voir ce que ça pouvait donner. "Merci encore, je vais essayer ça", elle avait déjà repris les haltères, prête à en découdre, alors que Jaden s'approchait de la barre de tractions. ça aussi, c'était un exercice qu'elle aimerait réussir à faire, mais c'était encore loin. La seule chose qu'elle savait faire là-dessus, c'était le cochon pendu, ce qui était certainement moins impressionnant.

Sam avait entamé le mouvement de développé épaules, une nouvelle fois concentrée à 100%, peu attentive au monde qui l'entourait. C'était agréable d'être à fond sur une activité et de débrancher le cerveau pendant un temps - c'était ce qu'elle aimait dans la course, d'ailleurs. Un instant, le reste du monde n'existait plus,
(pas de maladie, pas de mort, pas de deuil)
le monde ne tournait qu'autour de ce banc, de Sam, et ce matin Jaden faisait partie de la bulle de paix.

Alors, elle appréciait l'instant et avait presque peur de briser le moment. Le silence ne la dérangeait pas, même si elle aurait adoré écouter un peu de musique pour accompagner son entraînement, mais Sam cogitait. Elle avait déboulé dans la salle de sport et il avait fini par lui apporter son aide, alors qu'elle n'avait pas grand chose à lui offrir. De toute évidence, elle n'avait aucun conseil à lui donner sur les entraînements.  Elle se demanda depuis combien de temps il s'entraînait, mais partir sur les sujets trop personnels lui semblait prématuré. La vie d'avant, c'était souvent un crève-coeur pour tout le monde, y compris la rouquine. Elle posa les haltères et fit glisser son sac à dos près du banc. "Est-ce que tu veux des barres protéinées ? J'en ai trouvé au Marché une fois, personne n'en voulait donc j'ai voulu essayer. C'est pas hyper bon mais ça se mange et ça cale bien." En goûtant la première, elle avait vite compris pourquoi les barres n'avaient pas beaucoup de succès - mais c'était bon pour le corps, il paraissait. "Et si vraiment tu es maso et que tu aimes ça, je suis sûre qu'il y en aura quelque part dans la réserve des salles de sport du centre-ville, les gens n'ont pas tout de suite pensé à les piller. Tu es explorateur, c'est bien ça ?" Sam vérifia, fronçant les sourcils, prise d'un doute.

Jaden S. McCoy
Staff — Rainfall — la Tanière
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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Crédits : Lqrken
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Occupations : Explorateur et tatoueur à ses heures perdues
Gif :  I'm rip this shit, till my bones collapse Cf4ba70591442fa45020ed5a6b439a0d4d621e7c
Notes : RP en cours [3/3]

● Il a de nombreux tatouages sur le corps, dont un en particulier à l'intérieur de son avant-bras : des traits symbolisant le nombre de personnes qu'il a dû tuer pour survivre ● Il est arrivé à la tanière avec son fourgon aménagé, il dort le plus clair de son temps dedans ● Il a appris l'art du tatouage durant ses années de détention. Ce savoir-faire est devenu pour lui un exutoire, une forme d'expression dans un monde où les mots ne suffisent plus. Avec une petite machine qu'il garde toujours dans ses affaires, il tatoue parfois ceux qui croisent sa route, souvent des survivants ou des curieux qui veulent marquer leur peau des épreuves traversées. ● Il porte plusieurs cicatrices sur son corps, chacune témoignant d'une vie marquée par la violence. La plus visible, au milieu de son sourcil, remonte à son enfance. Elle est le résultat d'un coup de bouteille de bière que son père lui avait infligé lors d’une de ses nombreuses crises de rage ● Il fume deux à trois joints par jour, un rituel qu’il a conservé depuis ses années de galère dans la rue. Pour lui, c’est un moyen d’échapper, ne serait-ce que temporairement, à la violence de son quotidien et aux souvenirs traumatisants qui le hantent. Ce petit moment de calme, il le trouve essentiel pour tenir, pour ne pas sombrer complètement. Il roule toujours ses propres joints, un geste devenu presque automatique, comme une sorte de méditation dans le chaos. ● Il possède une planque à l'extérieur de la ville, un endroit isolé où il a réussi à faire pousser plusieurs plants de cannabis. C’est un lieu qu’il garde secret, loin des regards indiscrets, et qu’il a aménagé avec soin au fil du temps. Là-bas, il cultive de nombreuses têtes, non seulement pour son usage personnel, mais aussi pour troquer ou échanger avec d’autres survivants.
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Jaden s'accrochait à la barre, les muscles tendus, son souffle cadencé et discret, les bras s'étirant sous son poids. En face de lui, la rouquine s'entraînait avec concentration, et de temps à autre, il observait ses mouvements. Elle avait amélioré sa technique : des gestes fluides, précis, loin des maladresses initiales qui auraient pu causer des blessures sérieuses. Il n’avait plus à craindre qu’elle se luxe une épaule. Pas qu’il en faisait tout un cas : il avait vu bien pire dans le ring. Les souvenirs lui remontaient par vagues — des nez déformés, des os saillants et des genoux désaxés. Non, il n’avait pas peur des blessures, mais il n’avait aucune envie de jouer au secouriste aujourd’hui. Avec son expérience, remettre une articulation en place n’avait rien d’impressionnant, mais autant éviter d’en arriver là.

Soudain, Jaden se laissa pendre, étirant son dos dans un relâchement qui faisait glisser une goutte de sueur le long de sa nuque. Il profita de cette suspension, sentant la tension s’éloigner, avant de reprendre ses tractions et de relever les jambes pour travailler ses abdominaux. Chaque muscle prenait sa part de l’effort, à sa manière méthodique. Certes, certains prônaient un entraînement varié, mais lui avait ses habitudes. Il préférait ses séances régulières, alternant entre effort et repos avec une discipline rodée, presque cérémoniale. Ce matin, c’était la séance complète, la véritable épreuve.

La voix de la rouquine brisa son silence de concentration. Jaden, couvert de sueur, relâcha la barre et se laissa tomber, reprenant son souffle avec une lenteur calculée. Il se dirigea vers le banc, récupéra sa serviette pour essuyer la moiteur de son front, puis attrapa la barre protéinée qu’elle lui tendait. “Si ça nourrit et ça cale, c’est tout ce qui compte,” dit-il avec un sourire en coin, ouvrant le sachet et croquant sans hésitation. Le goût lui rappela des repas plus rudimentaires, des années où se nourrir était un combat quotidien. “Merci,” ajouta-t-il, glissant le papier dans sa poche. Les vieilles habitudes de politesse, même succinctes, restaient ancrées.

Elle proposa une idée, et Jaden hocha la tête, un léger sourire au coin des lèvres. “Bonne idée. Je verrai pour jeter un œil, c'est ça. Explorateur.” répondit-il en finissant sa barre et en buvant deux longues gorgées d’eau. Sa gorge s’humidifia enfin après l’effort, le liquide glissant comme une fraîcheur bienvenue. Il posa sa bouteille et leva un sourcil à sa question suivante. “T’as besoin d’un service ? Que je te ramène, quelque chose ?” Il avait l’habitude qu’on lui demande des choses, rarement de la générosité gratuite — ses services avaient toujours un prix.

Jaden s'asseya finalement sur le banc, appréciant cette pause avec un soupir. D’un geste tranquille, il sortit un joint, le plaçant derrière son oreille avant de sortir son briquet. “Ça te dérange si je tire un coup ?” demanda-t-il en la regardant, une touche d’espièglerie dans les yeux. “Pas de nicotine, pas de saloperies, si ça peut te rassurer. Juste une odeur, au pire des cas.” Il haussa les épaules avec une légèreté insouciante. “J’te propose, ou t’es pas intéressée ?”

Il attendit sa réponse, le regard légèrement provocateur, prêt à savourer cette petite pause, cette échappée, un instant de lâcher prise, comme un rite intime pour conclure son entraînement.

STRAIGHTOUTTABRONX


— I'll keep on
Oh these hands are tired
Oh this heart is tired
Oh this soul is tired
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