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Les superhéros, ça n'existent pas ! [feat. Miria]

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Javik Lawson
Javik Lawson


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Statut civil : Célibataire
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Une nouvelle sortie pour Javik. Quelque chose loin de son camp, parce que franchement, rester là bas à rien faire c'était pas trop son truc. Côtoyer un tas de personnes c'est aussi une chose qu'il ne supportait pas trop. Non pas qu'il ne soit pas social, mais plutôt socialement limité. Depuis toujours, il c'en sort seul, alors devoir voir toutes ses personnes qui parfois se plaine ont une forte tendance à le gaver. De toute façon, il est bien plus utile dehors et ça lui permet d'essayer de trouver sa bande. Ce monde serait franchement mieux s'il pourrait avoir son meilleur pote Danny avec lui, ou Ash et Rico qui aurait une vision surement plus claire de la situation. Pour l'heure, il fait avec, mais fait son possible pour ne recevoir aucun ordre de personne, car Lawson n'obéit qu'à lui même, du moins, il n'écoutait que les chefs de son groupe de braqueur : Ash et Rico.

Au départ, il était parti de la Tanière avec un groupe de cinq personnes, mais n'en faisant qu'à sa tête, il avait quitté ce dernier pour se débrouiller seul et aller là ou il en avait envie. En général, les autres savent que ça ne sert à rien de le suivre ou d'essayer de lui faire entendre raison. C'est une tête de mule et ça ne servirait à rien de risquer sa vie pour lui.

Cette fois-ci, il alla dans un coin de Malden qu'il n'avait pas encore visité : l'hypercentre de la ville. Ce n'était surement pas le coin le plus rassurant de la ville. Une zone autrefois très habitées, ce qui voudrait dire surement pas mal de zombies qui trainent. Mais ces choses ne lui faisaient pas peur, son propre Nemésis étant une personne qu'il a quitté il y a bien longtemps pour échapper à sa violence. Techniquement, il devrait y avoir peu de chance qu'il croise cet homme, le seul capable de lui faire peur encore à ce jour et de ne tétaniser. Les grands buildings étaient toujours debout, vestige d'un passé qui ne pourra plus jamais redevenir présent. Ça lui manquait un peu, cette ancienne vie, la belle vie ! En tant que braqueur, il n'était pas à plaindre, il avait de l'argent, tout ce qu'il voulait, il l'avait. Si seulement la vie d'aujourd'hui pouvait être aussi simple...

Un peu au hasard, il se déplaçait, sans but particulier, il voulait juste voir s'il pouvait trouver des choses intéressantes, aussi bien de la nourriture, que des armes ou des munitions et pourquoi pas des médicaments. L'hypercentre était connu pour avoir des magasins en tout genre, mais aussi presque une pharmacie dans chaque rue. Bien qu'il n'y connaisse rien en médoc, il pourrait ramener ça à la Tanière, ça pourra toujours servir. Espérons quand même qu'il ne ramène pas des médocs inutiles comme... des vitamines et encore c'est pas des médocs ça, mais les boites se ressemblent toutes.

Alors qu'il avançait dans une rue, ce sont bien des coups de feu qu'il entendit ainsi que des cris. Tout de suite, il vint s’aplatir dos au mur pour être moins visible, son arme en main, prêt à agir. D'où ça venait ? Quelques rues plus loin. Des tirs ne signifiaient qu'une choses : des zombies ou des humains attaquant d'autres humains. Tout ce remue ménage allait attirer les zombies du coin. Peut-être qu'il ferait bien de se tirer avant que... C'est là qu'il voit au loin une tête rousse passer en courant, en direction d'un immeuble. Peu de temps après, il vit deux monstres la suivre. Notre homme aurait pu faire demi tour, mais cette tête rousse, il était presque sûr de la connaitre. Si c'est elle, il ne peut pas la laisser se faire avoir. Sans trop hésiter, le voila fonça droit vers le danger pour la sauver !




In the deep
Les règles morales sont, chez l'être doué de raison, l'équivalent pratique des règles de l'instinct. Seules elles permettent la survie.
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Miria Dascomb
Miria Dascomb


Personnage
Pronom IRL : Elle
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TW : médical
Pronom INRP : Elle
Faceclaim : Holland Roden
Statut civil : célibataire
Localisation : la Colline
Occupations : Infirmière que le monde façonne vers la chirurgie
Responsabilité : aucune autre responsabilité que la recherche de solutions aux problèmes de santé... c'est déjà pas mal, non ?
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Notes :
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Les superhéros, ça n'extiste pas !
Depuis son arrivée au camp, Miria a la bougeotte. Que ce soit à l'intérieur, à s'intéresser aux recherches autant qu'au confort de chacun, ou à l'extérieur, à se porter volontaire pour toutes les missions de ravitaillement. Miria craint l'extérieur et ses dangers. Autant qu'elle espère retomber un jour sur Javik. Un intérêt qu'elle dissimule. On ne lui pose pas plus de questions que ça, l'infirmière cherche à faire ses preuves, se dit-on. Avec raison. Car il y a une partie d'elle qui considère que participer à la vie de la Colline est une façon d'assurer que sa famille y soit acceptée sans condition. Il faut dire qu'avoir été accepté dans ce camp est une aubaine ! Ils n'ont plus à chasser leur nourriture, à faire des tours de garde la nuit, ni à s'inquiéter des maladies qui pourraient les frapper. Enfin et depuis longtemps, Miria a l'esprit tranquille de savoir ses frères et sœurs en sécurité.

Avoir grandi à Malden permet à Miria de s'orienter, on ne peut plus facilement au travers des rues. Mais celles-ci ont drastiquement changé... La vie s'est arrêtée pour faire un 360° et tout ce qui défile sous ses yeux en est le résultat. Avec une mélancolie certaine, Miria scrute les bâtiments vides, les amas de décombres et tas d'affaires abandonnés. Une vision qui donne la chair de poule et la ramène à ce jour où elle a appuyé sur la détente pour offrir une dernière échappatoire à ses parents. De quoi la renfermer encore plus que d'habitude. D'ordinaire, ses équipiers s'accommodent de son mutisme. Certains essayent de lui tirer quelques mots, mais en vain. Miria a des yeux suffisamment expressifs et un minois assez évocateur pour répondre sans avoir à se servir de mots. Elle est entraînée à cette communication non verbale, car elle a été son seul média durant toutes ses jeunes années.

Mais à mesure que le véhicule s'enfonçait dans le centre-ville, l'expression de Miria s'assombrissait. Cette partie de la ville accueillait tellement de monde que les vestiges parlaient d'eux-mêmes : des immeubles de plusieurs étages, certains plus modernes que d'autres, plus grands que d'autres. Témoins d'une vie très dynamique qui, auparavant, effrayait Miria. Mais qui, maintenant, lui manquait. Car la réalité à laquelle il fallait faire face aujourd'hui était tout aussi terrifiante. Qui aurait pu croire que la ville lui manquerait un jour ?

Il fallait déblayer un peu la route pour assurer le passage, alors l'avancée était plus lente. Miria avait le temps d'observer les alentours avec plus de précision. Les bâtiments étaient déserts, mais quelques bruits sourds résonnaient, traduisant la présence d'infectés qui devaient errer sans but.

"- On va devoir continuer à pied. Une équipe garde la caisse, une autre avec moi. Miria ?"

Elle sort de ses pensées et comprend le plan sans trop de difficultés. Alors, elle descend, prend les deux sacs vides et se met en marche avec les deux autres membres de l'équipe qui formaient son groupe. Se séparer n'était jamais rassurant, mais il valait mieux ça que de perdre trois heures à faire avancer la voiture. Le danger ne réside pas tant dans l'endroit où on va que dans le temps qu'on y reste. Ils pressent le pas pour descendre la ruelle encombrée et rejoindre l'angle de l'avenue pour aller pilier une réserve de médicaments en tout genre repérée par des éclaireurs au petit matin.

Quand ils arrivent à la position recommandée, il faut une dizaine de minutes pour dégager l'entrée. La porte était barricadée de l'intérieur grâce à une poutre qui s'était récemment effondrée. L'un des soldats avec elle fait un premier tour dans la bâtisse pour s'assurer qu'il n'y a pas d'infectés. Quand enfin Miria pu entrer, elle longea des escaliers qui amenaient vers une cave. Assez rare ce genre d'installations, surtout en plein centre-ville. Pas étonnant que la planque soit toujours intacte. Enfin intacte... Il est évident que cette cave était habitée. Miria ne dit rien, mais remarque des traces de sang qui ne doivent pas dater de plus d'une journée. Un premier nettoyage a été fait, c'est sûr.

En essayant d'éloigner ces pensées de la tête, Miria ne se pose pas de question et récupère tout ce qui peut avoir un intérêt pour la survie. Effectivement, il y a des médicaments. Certains trop vieux pour être consommés, alors elle les jette au sol et les écrase avec sa botte. Cela pourrait dissuader d'autres pilleurs de s'en servir, ce ne serait pas une bonne idée pour leur santé. Une fois un premier sac rempli, elle le donne à son coéquipier qui remonte. Dans les talkiewalkies, une demande d'aide résonne de la part des gars restés au véhicule. Il faut remonter. Un soldat reste avec Miria tandis que l'autre part les aider.

"- Grouille !" L'invective le soldat.

Miria se presse, finit par remonter. Ils doivent de toute urgence remonter au véhicule ! Des coups de feu retentissent là-haut. Elle a peur et ne veut pas y aller, mais le soldat la prend par le bras et la contraint à avancer. Pour sa survie. Être séparés, c'est le pire des scénarios. Quand ils approchent des tirs, le soldat pousse Miria sur le côté pour qu'elle soit à l'abri. Elle sort de sa poche le 9mm qu'on lui a confié. Tremblante à cause de l'adrénaline. Le bruit fait bouger les murs : les pas traînant des infectés. Deux sortent du pas-de-porte à trois mètres d'elle. Par peur, Miria a le mauvais réflexe d'aller plus loin, pour se mettre plus à l'abri que contre ce mur à découvert. Sans trop réfléchir, elle se dit qu'à traverser cet immeuble, elle peut rejoindre le véhicule sans heurts. Mais son camarade est trop occupé à faire face à une menace devant lui pour s'inquiéter des deux infectés qui poursuivent l'infirmière.

Au pas de course, le sac à moitié chargé sur le dos, Miria trouve refuge dans l'immeuble. Elle n'ose pas se retourner pour tirer sur les infectés, tremblante comme une feuille, elle sera incapable de viser correctement. On lui a bien appris la leçon : ne tire que si tu es sûre de ton coup. Il ne faut pas gâcher les munitions. Espérant ne pas quitter un danger pour se jeter dans un autre, Miria se cacher dans la première pièce qu'elle trouve. Dès que le calme sera revenu, elle pourra courir vers la sortie de secours et rejoindre son groupe. En attendant, les infectés arrivent. Elle tient son arme à deux mains et vise la porte d'entrée. Attendant qu'un des deux la franchisse. La fenêtre de tir sera plus sûre... Elle attend. Attend. Mais ne parvient pas à comprendre ce qui se passe dans le hall de l'immeuble. Des bruits d'affrontements la rendent encore plus fébrile. Il pouvait s'agir de ses alliés comme d'ennemis... Son cœur tambourine de frayeur alors qu'elle tente par tous les moyens de retenir son souffle. Pour ne pas trembler. Pour ne pas attirer l'attention. Ses paupières ne se ferment plus, son regard reste fixé sur l'encadrement de cette fichue porte...


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Javik Lawson
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Durant cette virée, il ne s'attendait à rien de particulier, juste trouver des vivres ou quoi que ce soit d'autre utile. La moindre petite chose peut avoir son utilité de nos jours, bien que les médicaments et la nourriture soit privilégier. Cependant, il ne faut pas négliger des choses comme l'alcool qui peuvent servir pour des échanges, il y a toujours des gens qui veulent savourer le goût de ce genre de boisson, même si ça n'a rien de vital. Faut croire que le plaisir est toujours d'actualité, même dans ce monde. Sans oublier le confort, parfois, certains demandent des vêtements précis, histoire de garder un style. Bref, tout peut servir, faut juste savoir à qui ça peut convenir et contre quoi l'échanger.

Les zombies ne lui faisait pas peur, ce ne sont que des monstres sans cervelle qui se contentent de courir pour avoir leur cible. Le tout, c'est d'être plus rapide et malin qu'eux. Javik ne sortait pas sans de quoi se défendre, son fusil d'assaut qu'il utilisait en cas d'urgence, tirer ça faisait du bruit et le bruit ça attirait ces choses. Sinon, un couteau de combat, l'arme la plus silence, mais imposant le corps à corps. Ce jour là, il n'aurait pas imaginé que ce n'était pas lui qui attirait les créatures mangeuses de chair. Des tirs avaient raisonnés entre les hauts immeubles du quartier. C'était clairement suffisant pour éveiller les rôdeurs morts du coin et les faire rappliquer illico-presto. Avant d'être vu, il comptait se mettre à l'abri et attendre que ça passe. Un plan simple, jusqu'à ce qu'il voit au loin cette tête rousse qu'il était certain de connaitre. Ceci ne pouvait être qu'elle, même son allure ne pouvait pas lui échapper, c'était sa sauveuse, Miria. Sauf qu'elle était suivi par deux bouffeurs de chairs qui ne la lâcheraient pas tant qu'ils ne seront pas refroidis pour de bon. Le braqueur aurait pu ignorer ça, partir se cacher et jouer les égoïstes de service. Sauf qu'il ne pouvait pas. Ceci aurait été n'importe qui d'autre, il aurait laissé couler, mais pas elle. Est-ce parce qu'il a un dette envers elle ? Ou pour une autre raison ? Le moment n'était pas choisi pour réfléchir à la réponse.

Ainsi, Javik s'élança rapidement vers l'immeuble pour venir au secours de celle qu'il l'avait sauvé une fois. Quelques secondes suffirent pour qu'il arrive, shootant avec le pied dans un objet pour faire du bruit dans l'espoir d'attirer l'attention des monstres déjà trop focalisés sur elle. Tel un joueur de football américain, il un plaqua un au sol par le côté. Dire qu'il n'avait jamais pratiqué ce sport, il aurait peut-être été doué. Sa lame en main, il tenta un coup, mais il bougeait trop et le second était en train d'arriver. Il dût se focaliser sur le deuxième pour lui foutre un coup de pied histoire de le repousser ce qui le fit tomber, sauf que le deuxième qu'il maintenait au sol tendait de se redresser, claquant ses dents pourrit de plus en plus près de son visage. Ça s'annonçait plus compliqué que prévu. Tentant de rassembler ses forces, il le re-plaqua violemment au sol et saisit cette opportunité de quelques secondes pour venir planter sa lame dans l’œil de la chose histoire de l'exterminer une bonne fois pour toute. Et d'un de moins.

Le second le sauta dessus, le faisant se retrouver dos au sol, ses bras retenant la créature au dessus de lui et son couteau tombé à deux autres de lui. La situation n'était pas du tout à son avantage. N'ayant pas d'autre choix, il tenta de lâcher la chose d'une main pour lui donner un coup de poing et le repousser. C'était casse gueule, mais ça passa de justesse. S'extirpant de cette situation, il se releva, ramassa son couteau et tua la chose par la suite. Bon sang, un combat pour la vie, ça mettait à mal le cardio ! Lawson soufflait un instant, les mains sur les genoux et essuya la lame du couteau sur les vêtements du cadavre. Bon, est-ce que Miria était toujours là ? Avec prudence, il avança vers la porte ouverte la plus proche, qui semblait être un accès vers des escaliers. Le jeune homme ne s'attendait pas du tout à ce qu'on le pointe avec une arme. Dans un geste de réflexe, il leva les mains en l'air. "Wow, wow, wow ! Doucement avec ça ! J'suis humain !" s'exclame t'il, le peu de luminosité, ne permettait pas spécialement de bien voir, donc autant spécifier tout ça. Du bruit derrière lui indiqua soit l'arrivée de nouveaux monstres ou les potes de Miria. L'un dans l'autre, il n'avait pas envie de les croiser. "Faut dégager d'ici, vite !" Presse t'il la jeune femme. Les retrouvailles, ça sera pour plus tard.




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