[FB, 18+] On n'apprend pas à une petite fouine l'art de l'espionnage || NOAH&&RAFFIE

« Noah veut te voir. » Tu haussas un sourcil avant de tourner lentement la tête vers la personne qui venait de pénétrer dans ton coin. Tu ne pouvais pas y faire grand-chose, tu étais très limitée, mais tu te débrouillais avec les ressources qu’on t’apportait. « Il sait où me trouver. » Tu passais tout ton temps ici, pourquoi il ne venait pas lui-même ? Pourquoi tu devais te déplacer, car Monsieur avait besoin de te parler ? Et surtout, qu’est-ce qu’il pouvait bien te vouloir ? Il avait de la chance au fond que tu sois curieuse, tu n'allais pas ignorer complètement la requête de son petit sbire. « Il veut te voir maintenant. » Tu soupiras sans retenu pour bien faire comprendre ton mécontentement de la situation. Tu n’étais pas à la disposition des gens. Tu détestais qu’on puisse le penser, mais ça faisait partie des contraintes que tu avais si tu désirais rester dans cette communauté. Tu avais peut-être un égo démesuré, mais tu savais très bien que seule dehors, tu serais foutue. Alors si tu te devais te plier à quelques exigences… Tu allais le faire. Certes, pas sans râler. C’était bien connu ça. Tu n’avais pas la langue dans ta poche et on ne pourrait pas te changer sur ça.

Tu déposas tes flacons pour te diriger tout d’abord vers ta chambre où tu retiras la chemise trop grande qui te servait te sarreau. Elle ne te protégeait de rien, mais tu en avais l’illusion. Et ça t’évitait de risquer d’abimer les quelques vêtements que tu possédais. L’avantage d’avoir été dans un aéroport au moment de la pluie vous avez permis de récupérer des tonnes et des tonnes de vêtements grâce aux valises. Le hasard avait même voulu que tu récupères les tiennes et les paires de talons que tu chérissais plus que jamais aujourd’hui. Peu de gens pouvaient se vanter de survivre à l’apocalypse en Louboutin. Toi, oui. Enfilant un chemisier plus délicat et cette fameuse paire de chaussures qui faisait partie de ton identité, tu quittas ta modeste demeure pour te diriger vers le bureau de Noah. Tes talons claquant au sol annonçaient ta présence, ton pas confiant et décidé également. C’est pour cette raison que tu ne frappas même pas à la porte du bureau avant de t’y engouffrer. Le regard que tu lanças à Noah trahit ton mécontentement. Tu aurais pu le balayer du revers de la main, afficher ton masque de la gentille et douce humaine, mais il y avait une lueur sombre dans le regard du chef adjoint qui ne te plaisait pas et qui te mit immédiatement sur la défensive. « Qu’est-ce qui se passe ? » Le doute planait dans ta voix.

Je suis rentré tardivement dans la nuit en réalité, car je n’avais aucune envie de revenir trop vite ici. Et n’ayant aucune envie de dormir je suis resté dans les bureaux. On met au point une stratégie et en y réfléchissant on a trouvé la personne parfaite pour accomplir notre plan en réalité. Il s’agit de Raffaela. Très gentille et assez utile en réalité mais ici on ne dispose pas vraiment de matériel pour lui permettre de travailler. Elle m’avait fait par de son souhait de partir rechercher son fils, qui avait mon âge environ, à la Colline. Alors assez tôt je la fais convoquer. Je dois lui parler.

Je suis nonchalamment assis sur la chaise de bureau et je la fais tourner légèrement en rongeant un de mes ongles. Je suis encore sur les nerfs, et cela se voit puisqu’on me l’a fait remarqué plusieurs fois, ce qui a eu pour finalité de m’énerver davantage que je ne le suis. C’est d’ailleurs d’un regard mauvais que je me regarde la personne qui entre dans la pièce sans frapper. Mon regard doit être vraiment méchant parce que Raffie se braque automatiquement, et elle est sur la défensive. Je me radoucis légèrement avant de frotter mon visage, et je souffle légèrement comme pour m’apaiser.

Je me redresse légèrement sur mon siège avant de sourire légèrement en remarquant sa tenue. Je mordille ma lèvre en baladant mon regard de haut en bas. Je suis encore étonné par son look en réalité même si j’aime beaucoup cette tenue. On ne voit plus de femmes en talons, et ça me fera toujours sourire de la voir faire de la résistance en temps d’apocalypse.  « Ferme la porte. Je reste assis sur la chaise et je lui fais signe d’approcher, alors que je rajoute.  « J’ai trouvé un moyen d’accéder à ta demande de l’autre fois. Pour aller à la Colline, mais en ayant une porte de sortie, en contre partie d’un service. » Je la regarde toujours dans les yeux. Je sais que c’est quelque chose qu’elle attend depuis un moment en réalité. J’espère qu’elle en a toujours envie. Je montre ses jambes de mon index avant de murmurer.  « Pas galère ? »

Ferme la porte ? Il pensait vraiment pouvoir te donner un ordre de la sorte ? Pour qui il te prenait ? Tu ne capitulas pas, tu croisas plutôt tes bras sur ta poitrine tandis que tu le défiais du regard. Regard que Noah ne sembla pas remarquer, trop occupé à bien t’observer de haut en bas. Tu ne pourrais pas lui donner une médaille de la subtilité, mais au fond, tu ne pensais pas qu’il tentait de l’être. Il restait un homme. Tu finis néanmoins par donner un coup de pied dans la porte afin de la refermer et tu t’avanças vers son bureau. Ce n’était pas toi la cheffe ici, mais tu ne t’assis pas sur le fauteuil voulant garder une position de supériorité qui ne servait à rien ici. Tu n’étais pas en conflit avec Noah, bien au contraire, c’était seulement ton naturel qui revenait au galop dès que tu te retrouvais dans une telle position. Ton rôle au sein du Gouvernement te manquait. Là-bas, tu étais celle qui possédais le grand bureau et qui pouvait se permettre d’observer les gens de haut.

Ta tête se pencha sur le côté lorsque Noah commença à entrer dans le vif du sujet. Il avait trouvé un moyen d’accéder à sa demande ? Tes sourcils se froncèrent légèrement, tu semblais septique de ce qui allait te proposer. On ne rentrait pas aussi facilement dans un camp et encore moins avec une porte de sortie. Ton regard planté dans le sien, tu l’observas de longues secondes. « Ça m’intéresse, dis-moi tout. Qu’est-ce que tu attends de moi ? » Preuve qu’il avait réussi à attiser ta curiosité, tu venais de laisser sous-entendre que tu étais prête à faire ce qu’il voulait. Toi, qui te pensais la maitresse du monde. Sauf qu’avant d’être cette maitresse, tu étais avant tout une mère de famille. Maman avec un objectif bien précis en tête. Tu devais savoir si ton enfant était toujours envie, tu devais savoir s’il se trouvait bien à la base militaire de Malden comme ça devrait. Et surtout… Tu avais entendu parler de la Colline et de ses laboratoires développés. Tu voulais pouvoir accéder à cette technologie, à leurs recherches. Tu voulais participer aux recherches.

C’est un léger rire qui s’échappa de tes lèvres lorsqu’il te demanda si tu ne galérais pas trop. Pas une seconde, tu n'hésitas avant d'avancer dans la pièce pour contourner le bureau. Tu levas ta jambe pour poser ton pied sur la chaise, entre les cuisses de Noah, lui affichant une meilleure vue sur cette jambe allongée par le pantalon ajusté que tu portais. Tu ne pourrais pas courir avec, mais est-ce que tu étais là pour courir ? Non. « Je suis aussi stable sur ces talons que tu peux l’être avec tes… baskets. » Faisant un signe de tête vers les chaussures que tu devinais à ses pieds. Probablement des chaussures sales, peut-être même trouées qui avaient plus de vécues que tes pauvres talons hauts. Tu n'avais pas regardé, tu n'en avais rien à faire au fond. « Elles te plaisent ? » Un demi-sourire sur tes lèvres suivi d’un regard presque provocateur. Il ne les avait pas remarqué sans raison, n’est-ce pas ? L'envie de le pousser légèrement de ton pied était présente, mais il fallait le laisser profiter un peu, non ?

Je sais qu’elle joue les rebelles car même si je la détaille du regard je vois bien que la porte reste ouverte. Ça me fait sourire en réalité. Je reporte mon regard vers le sien. Elle a son petit caractère quand même, et ça m’amuse évidemment. Elle essaie de faire sa petite cheffe, mais on sait très bien que cela ne marchera pas. Nous ne sommes pas en mauvais terme, malgré ce que cette scène pourrait laisser croire aux personnes extérieures, mais elle est comme ça, et moi ça me plaît autant que ça m’amuse.

Je rentre dans le vif du sujet en lui évoquant la raison de sa venue dans le bureau. J’ai trouvé une solution pour son départ autant que l’assurance qu’elle ira bien si elle veut revenir. Je sais qu’elle veut retrouver son fils et si ma mère était encore en vie, j’aurais aimé que l’on en fasse de même pour elle.  « Tu pourras y travailler, chercher ton fils, mais il faudra un compte rendu de ce qui s’y passe, aussi souvent que possible. Mais surtout Raffie, ne te montre pas trop douée parce qu’ils ne te laisseront jamais repartir et si ça dégénère, tu risques d’être une des premières touchées. Crois-moi.. » Je préfère la prévenir de ce qu’elle encoure. Tout comme si elle se fait découvrir même si je sais très bien qu’elle sera prudente.  « Tu as le droit d’y réfléchir. Évidemment mais ne tarde pas à me donner une réponse. » Je lui souris légèrement avant de baisser à nouveau les yeux sur son corps et je remarque ses talons.

Il n’y a qu’elle pour être habillée de la sorte. L’instinct de survie n’est peut être pas énormément développé chez elle, mais il est vrai aussi que pour le moment elle ne sort pas donc personne ne lui dit rien. Néanmoins avec le sol abîmé, je lui demande si elle ne galère pas trop. Je la regarde se rapprocher de moi avec un léger sourire amusé et je regarde son pied qu’elle dépose entre mes cuisses. Je hausse un sourcil assez amusé en la regardant faire. Mes doigts se baladent sur son mollet alors que je réplique.  « Chaussures de randonnée. » Je ris légèrement malgré tout car en effet l’équipement n’est pas le même. S’il y a quelque chose dans mes affaires auquel je suis précautionneux, hormis ce qu’il y a dans mon sac, c’est bien avec mes chaussures car elles sont importantes surtout avec mon métier. Je la regarde de nouveau avec un léger sourire en coin à sa question.  « Cela faisait longtemps que je n’avais pas vu une femme avec ce genre de tenue. J’étais à l’armée avant ça et.. célibataire un certain temps. » Je souris légèrement en la regardant et je ponctue mes mots suivants en arrachant sa chemise. Je prends le risque, mais de toute façon c’est elle qui m’aguiche là.  « Mais pour répondre à ta question, elles me plaisent oui. » Je glisse une main sur son ventre qui se trouve nu sous les doigts, pour les faufiler jusqu’à sa hanche droite. Elle a le choix, de combler cette distance qui nous sépare en en se déshabillant ou en me gifflant. Sûrement d’ailleurs, qu’elle me demandera une chemise de remplacement.

Dit comme cela, ça te semblait si simple. On te proposait de rejoindre ton terrain jeu sans oublier de préciser que tu allais pouvoir chercher ton fils. Ça, c’était l’unique argument dont tu avais besoin. Le reste, ce n’était qu’un détail. Tu allais te débrouiller, tu te débrouillais toujours. La preuve, tu étais vivante alors que personne ne donnait cher de la peau d’une femme comme toi. « Tu ne peux pas m’envoyer quelque part en me demandant de ne pas être douée. » fut ta première réponse. Tu étais la meilleure dans ton domaine et ça, tu n’allais pas le changer. Le danger ne te faisait pas peur. Surtout, car tu ne réalisais pas tout ce qui pouvait arriver. « Il n’y a aucune raison que ça dégénère. » Ouais, tu te faisais trop confiance aussi, mais c’était ce qui t’avait mené jusqu’ici. « Je n’ai pas besoin de réfléchir. Je ne peux rien faire ici, ça m’ennuie. Si je dois aller fricoter avec l’ennemi pour m’amuser, je le ferai. » Tu ne devrais pas prendre la situation comme un jeu, mais trop tard. Tu étais comme cela. « Qu’est-ce que tu veux savoir sur eux ? » C’était bien de te demander des rapports, mais encore ? Cherchait-il quelque chose de précis ?

Raffaela, tu étais de nature provocatrice, ce n’était pas nouveau. Soit on tombait dans le panneau, soit on te laissait faire sans réagir. Peu importe, dans les deux cas, ça t’amusait et c’est tout ce que tu cherchais. Qu’est-ce que c’était ennuyant l’apocalypse quand même. Heureusement, il y avait des Noah dans ce groupe qui savait répondre à tes provocations. La main de ce dernier vint te faire frissonner légèrement en parcourant ton mollet. Ton regard était planté dans le sien tandis que la tension monta en l’espace d’une seconde. Ce fut si rapide que tu ne vis même pas venir l’ouverture de ton chemisier. Est-ce que tu allais t’en plaindre ? Oh non. Tout le monde avait de la tension à relâcher dans ce monde n’est-ce pas ? « Et c’est parce que ça te plait que tu te sens obligée de me retirer cette tenue ? » Un sourire se dessina sur tes lèvres, mais tu ne bougeas pas. Tu le laissas caresser ta peau, retenant un soupir sous cette sensation qui t’avait manqué. « Bien. Dans ce cas, nous allons garder que ces chaussures. » Si elles lui plaisaient autant… Tu fis glisser ton chemisier sur tes bras, le laissant rejoindre le sol, tu allais lui parler des modalités ensuite. Tu détestais qu’on puisse abimer tes vêtements.

Tu retiras ton pied de la chaise pour te permettre de pouvoir retirer plus habillement ce pantalon et c’est en sous-vêtement que tu t’installas en califourchon sur les cuisses de Noah. Encore une fois, de manière à te retrouver en hauteur. Tu attrapas son visage entre tes mains pour lui faire relever vers le tien et tu te penchas pour aller capturer ses lèvres sans aucune tendresse ni délicatesse. L’un comme l’autre, ce n’était pas ce que vous recherchiez à cet instant précis. Relâchent son visage, mais pas ses lèvres, tu laissas tes doigts rejoindre les premiers boutons de sa chemise afin de lui ouvrir à ton tour. Tu allais te poser des questions plus tard sur le pourquoi vous en êtes arrivés là. Et surtout sur le comment. Nous ne vous étiez jamais tournés autour.

Je sais qu’elle parviendra à être discrète, et qu’elle y arrivera. Je n’ai aucun doute là dessus en réalité. Même si elle n’est pas à l’aise au combat, ni avec une arme, elle a de la ressource malgré tout. Je ne m’inquiète pas vraiment. Je sais qu’elle veut retrouver son fils et c’est une opportunité pour elle. Je regarde la blonde face à moi et je secoue la tête.  « Je te demande seulement de ne pas montrer tes talents. Sinon tu finiras enfermer Raffie, et je suis sérieux. » Il faut absolument qu’elle fasse attention à ça, car on ne sait pas de quoi ils sont capables là bas et je n’ai aucune envie qu’elle se retrouve dans un guet-apens par ma faute. Elle est beaucoup plus confiante que moi, ça s’entend à ses mots mais il faut qu’elle soit prudente.  « Oui je sais que tu t’ennuie ici, mais vraiment, va falloir être prudente là-bas, vraiment. » Je ne pourrais pas lui garantir la sécurité si elle fait n’importe quoi, mais après si elle désire rester là bas.

Je lève les yeux vers elle lorsqu’elle me demande ce que je souhaiterais savoir une fois dans le camp, et la réponse est assez évidente.  « Tout ce que tu pourras découvrir. Sur le côté scientifique, l’organisation, la gestion. Et même l’inventaire. » On a besoin de découvrir ce qui se passe chez nos ennemis. On sait que scientifiquement, ils sont au dessus de tous les camps de la ville mais savoir ce qu’ils y font serait un atout pour nous.

Nous changeons de sujet. Nous aurons toutefois l’occasion de revenir dessus. Je souris lorsqu’elle s’approche de moi et je viens caresser doucement son mollet sculpté par son pantalon. Je finis par arracher son chemisier, avec un sourire. En vérité je crois que c’est quelque chose de bienvenu. J’ai envie d’oublier cette journée qui vient de s’achever pour moi, et de me noyer ailleurs l’espacé d’un instant.  « Tu as tout compris. La tenue est très jolie, mais j’avoue que sans, ses chaussures te mettrait tout autant en valeur.. » Je souris avec amusement lorsqu’elle confirme mes dires juste après et je ne peux m’empêcher de hocher la tête en ajoutant.  « C’est très sexy. » Je la regarde se déshabiller sous mes yeux et je mordille ma lèvre. Je la laisse retirer son pantalon en continuant de l’observer. Je la laisse s’installer sur mes jambes et je lui rend le baiser qu’elle m’offre en glissant un bras autour de son corps. Je ne réfléchis même plus à la réalité, j’ai envie de me perdre dans ce moment charnel. Et visiblement elle aussi. Alors sans questions, je fonce. On verra le reste plus tard.

Un nouveau soupir s’échappa de tes lèvres et tu n’avais même pas essayé de le retenir. Tu semblais visiblement contrariée par le fait qu’on te demandait de ne pas monter tes talents. Il envoyait l’une des meilleures virologues du monde dans un endroit qui allait lui permettre de travailler et il espérait que tu ne te fasses pas remarquer ? Certes, il démontrait uniquement de l’inquiétude pour toi, au fond, ça devrait être mignon, mais ça t’exaspérait aussi. Tu savais ce que tu avais à faire et tu allais le faire comme tu l’entendais. Les conséquences, tu ne les voyais pas. Si tu les voyais pas, elles n’existaient pas. C’était comme cela que tu fonctionnais. Tu préféras ne rien ajouter, tu n’avais pas envie qu’il change d’avis, car il craignait qu’il t’arrive quelque chose. « Je sais ce que j’ai à faire. » Voilà ta façon indirecte de dire que tu allais être prudente. Tu savais jouer avec le feu et tu savais exactement quand t’arrêter pour ne pas t’y brûler.

« Très bien. Ça sera fait avec précision. » Et l’avantage de ta mémoire performante c’est que tu pourrais le faire sans laisser la moindre trace écrite et ramener des informations extrêmement précises après un unique coup d’œil. Ta façon de faire avait tendance à impressionner autour de toi et ça, c’était parfait pour ton égo.

Je sais qu’elle a un caractère de tête brûlée et c’est ce qui me fait un peu peur. Mais soit c’est sa vie qui est en jeu, et je ne ne peux pas lui dicter ce qu’elle a à faire seulement la mettre en garde, et après aujourd’hui, j’en ai plus envie de me battre pour qui que ce soit. C’est à elle de choisir à présent. Je sais qu’elles est capable de faire ce boulot, je l’ai vu à l’œuvre et je n’ai pas de doute par rapport à la façon qu’elle emploiera pour le faire. Pour le reste, ce sera à elle de voir, de toute façon en acceptant, elle accepte aussi les conséquences.

En attendant je veux profiter. Je veux oublier la journée que je viens de vivre, et en plus elle semble aller dans mon sens alors c’est parfait. Je souris alors que je la laisse s’approcher.